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04.09.2010

La Svizzera è tradita dall’UE?

Discorso tenuto il 4 settembre 2010 su invito dell'UDC del canton Zurigo, presso l’albergo Mariott a Zurigo

04.09.2010

La Suisse est-elle trahie à l’UE?

Discours tenu le 4 septembre 2010 à l'invitation de l'UDC du canton de Zurich à l'Hôtel Marriott, Zurich

04.09.2010

Wird die Schweiz an die EU verraten?

Vortrag vom 4. September 2010, gehalten auf Einladung der SVP des Kantons Zürich im Hotel Marriot, Zürich

01.09.2010

Un UDC romand au Conseil fédéral serait une bonne chose

Interview dans «24 Heures/ Tribune de Genève» du 1.9.2010 De nombreux candidats alémaniques de premier plan, comme votre chef du groupe parlementaire Caspar Bader, ne seront pas candidats le 22 septembre. Jean-François Rime jouera donc le rôle de kamikaze de service. Les Romands servent-ils à remplir les tâches ingrates ? Je vous arrête tout de suite. Jean-François Rime est un excellent candidat, qui n’a rien d’un alibi pour l’Union démocratique du centre (UDC). Entrepreneur actif , il a l’expérience de terrain. Ce n’est pas un bureaucrate de l’économie. Il est aussi prêt à remettre son entreprise, ce qui n’était pas le cas de Caspar Baader. On a tout de même l’impression que lorsque la cause est désespérée, on fait appel au Romand de service… C’est faux. Jean-François Rime est une candidature sérieuse. A côté d’un Ueli Mauer, qui provient de notre aile agricole, nous aurions un représentant de l’économie. Une combinaison idéale. Et un UDC romand au Conseil fédéral serait une bonne chose. C’est la partie du pays où nous avons le plus grand potentiel. Les sections romandes sont pour la plupart encore jeunes et n’ont pas dépassé les 25% de voix aux dernières élections fédérales. Mais l’objectif doit être les 33% de Zurich ou encore les 45 % de Schwyz. Si nous devions échouer le 22 septembre, la question romande se posera aussi l’année prochaine. N’avez-vous pas peur de « griller » un de vos parlementaires romands les plus reconnus ? On ne « grille » jamais un bon candidat. Tout d’abord l’élection du 22 septembre n’est pas encore jouée. En cas d’échec, un bon candidat le sera aussi en 2011 lors du renouvellement intégral du Conseil fédéral. On ne voit pas comment vous pourriez l’emporter le 22 septembre… Si les autres partis respectent la concordance en nous accordant le deuxième siège qui nous est mathématiquement dû comme premier parti. Mais je ne me fais aucune illusion. Le Parti socialiste (PS) et le Parti libéral radical (PLR) vont s’allier pour sauver leurs acquis. Ce sont plutôt le PDC et les Verts qui auraient intérêt à nous soutenir dans la perspective de 2011. Pour quelle raisons ? Lors du renouvellement intégral du Conseil fédéral, surtout l‘UDC mais aussi le PS devraient rester les plus grands partis et obtenir deux sièges au Conseil fédéral. La troisième formation devrait aussi obtenir deux sièges. Cela se jouera entre le PLR, le PDC et les Verts. Si ces deux formations permettent l’élection d’un PLR à la place de Hans-Rudolf Merz le 22 septembre, ce siège sera bétonné pour une dizaine d’année. Sauf rares exceptions, on reconduit les sortants. Mais s’ils nous élisent, le PDC et les Verts pourront plus facilement gagner un siège ou intégrer Eveline Widmer-Schlumpf en 2011. Mais elle sera aussi sortante… Certes, mais elle n’aura aucune légitimité populaire. Son siège devra revenir au 3ème parti, soit le PDC, les Verts ou le PLR. Nous choisir cette année ouvrira donc le jeu l’an prochain. N’attendez-vous pas aussi du PLR qu’il vous renvoie l’ascenseur, vu que vous avez sauvez le siège de Pascal Couchepin en élisant Didier Burkhalter ? Ce serait la moindre des choses. Mais le PLR est toujours plus proche du PS. Sans ce soutien pour obtenir le siège de Moritz Leuenberger, nous essaierons d’obtenir celui de Hans-Rudolf Merz. Pourriez-vous tenter de trouver un candidat sauvage pour contourner les tickets officiels ? Les manœuvres de bas étage ne me plaisent pas, même contre le PS qui fait une mauvaise politique. Nous choisirons normalement une candidature officielle du PS et du PLR si nous ne sommes pas parvenus à l’emporte avec notre candidat. Nous respectons la concordance. Et empêcher l’accession de Micheline Calmy-Rey à la présidence de la Confédération ? Je m’engagerai dans le groupe parlementaire pour que nous ne jouions pas à cela. Serez-vous candidat au Conseil national ? Je ne sais pas encore. Je déciderai cela au printemps. Je vais avoir 70 ans, même si on ne le remarque pas. Si les élections avaient lieu aujourd’hui, je me sentirai capable. Les quatre prochaines années seront importantes, notamment en matière de politique européenne. . Mais au final il faudra que je me sente capable de tenir quatre ans. Un ancien ministre doit-il se taire ? Comme son ancien collègue Pascal Couchepin, Christoph Blocher s’exprime volontiers dans les médias. Et le principe « servir et disparaitre » ? Le Zurichois conteste : « Je n’ai pas de problème avec le fait que d’ancien conseillers fédéraux s’expriment. On ne peut pas l’interdire. C’est leur choix. » Christoph Blocher se sent toutefois moins lié à un quelconque devoir de réserve : « N’oubliez pas que je ne suis pas un retraité, mais un conseiller fédéral non réélu. Dès mon exclusion j’ai annoncé la couleur et ma volonté de continuer à faire de la politique. Si j’étais volontairement parti à la retraite, je ne prendrais pas position sur tout comme d’autres le font. » Avant d’ajouter, non sans une certaine ironie : « Il faut admettre qu’il n’en ressort souvent pas grand-chose d’intelligent. Tant le socialiste Otto Stich que le radical Rudolf Friedrich ont profité pour m’attaquer ainsi l’UDC. Pascal Couchepin fait maintenant la même chose. C’est une dernière manœuvre pour nous mettre en échec, empêcher l’UDC de progresser. Mais cela ne nous arrêtera pas. »

21.08.2010

Wichtig ist, dass die fast 30 Prozent der Wähler, die die SVP vertritt, endlich vollwertig im Bundesrat vertreten sind.

Interview mit der Neuen Luzerner Zeitung vom 21. August 2010 Christoph Blocher, gehen Sie ans Eidgenössische Schwingfest in Frauenfeld? Ja. Und ohne Zwang. Früher fühlte ich mich fast verpflichtet, weil der Schwingsport als schweizerische Besonderheit abschätzig behandelt wurde. Sie wollten das Fest aufwerten? Damals. Heute ist Schwingen „in“. Es besteht aber die Gefahr des Missbrauchs. Wie meinen Sie das? Es gefällt mir zwar, dass das Schwingen gesellschaftlich wieder einen hohen Stellen-wert hat. Das hängt mit der gesellschaftlich konservativen Wende zusammen: Die Schweizer lieben das Schwingfest wieder als Prototyp des Sonderfalls Schweiz.  Aber man muss aufpassen, dass das „Drum und Dran“ nicht wichtiger wird als das Schwingen. Heute buhlen die Firmen geradezu darum, Sponsoren zu sein. 2001 in Chur bat man unser Unternehmen noch, zu spenden, was wir dann auch in hohem Ausmass taten. In der Zentralschweiz war das anders: Hier war Schwingen immer beliebt. Wer ist Ihr  Favorit in Frauenfeld? Als Ostschweizer setze ich auf die Ostschweizer – Jörg Abderhalden. Aber die Innerschweizer und die Berner kommen stark. Ihr Herz schlägt für die Ostschweizer: Auch beim Hosenlupf für den Bundesrat? Wichtg ist, dass die fast 30 Prozent der Wähler, die die SVP vertritt, endlich vollwertig im Bundesrat vertreten sind. Weil die SVP den EU und EWR-Beitritt entschieden ablehnt, will man die SVP nicht im Bundesrat. Aber sowohl CVP als auch FDP wollen keinen EU-Beitritt. Beide haben den EU-Beitritt im Parteiprogramm. Der Bundesrat sagt, das Ziel sei offen. Das glauben Sie nicht? Eine Strategie ist ein Plan zur Erreichung eines Zieles. Wenn der Bundesrat kein Ziel hat, dann hat er auch keine Strategie. Aber: der Bundesrat hat ein Beitrittsgesuch in Brüssel und will es nicht zurückziehen. Dabei sollte er der EU endlich klar machen, dass die Schweiz nicht beitreten will, weil das mit der Souveränität unseres Landes nicht vereinbar ist. Warum tut er es nicht endlich? Weil er - ohne es dem Schweizer Volk zu sagen – in die EU drängt. Die Landesregierung hat aber klipp und klar gesagt: Der bilaterale Weg geht weiter. Ich höre in dieser Sache nicht nur, was sie sagen, sondern auch, was sie denken. Was heisst:  Der Bundesrat bildet „eine Arbeitsgruppe für eine stärkere institutionelle Zusammenarbeit?“ Das Ziel ist wohl die Uebernahme von EU-Recht. Eine Bedingung des Bundesrats ist, dass die Schweiz eben nicht automatisch EU-Recht übernehmen muss. Er sucht eine „institutionelle Lösung“: Das heisst, EU-Recht übernehmen ohne Volksentscheid im Einzelfall. Aber das Stimmvolk kann immer abstimmen. Wir werden sehen, wie man die Stimmbürger austrickst, ohne dass sie es merken. Der Bundesrat sagt klar, dass der Schweizerische Entscheidungsweg mit Volksabstimmungen unantastbar sei. Warum sucht er denn eine „institutionelle“nähere Zusammenarbeit mit der EU? Diese Arbeitsgruppe ist demnach Unsinn. Die Arbeitsgruppe mit der EU soll vor allem Wege aufzeigen, wie die bilateralen Verträge besser umgesetzt werden können – zum Beispiel, dass Unternehmen wissen, welches Recht gilt. Und damit nicht bei allen Verhandlungen wieder alle Vertragsteile neu ausgehandelt werden müssen. Das sind alles bürokratische Argumente. Einfacher für Beamte auf beiden Seiten, ist kein Grund, um die Souveränität der Bürger zu schmälern. Für die Unternehmer wären weniger Bürokratie, weniger Abgaben und Gebühren nötig und nicht eine Annäherung an die EU. Als ich mich vor 18 Jahren gegen den EWR-Beitritt stemmte, da war ich oft nicht so sicher, ob es ohne Mitgliedschaft so gut geht, denn die EWR-Befürworter sagten damals, die Schweiz würde ohne Beitritt untergehen. Ich fragte mich, ob sie am Ende nicht doch Recht behalten würden. Aber heute, nach 18 Jah-ren Erfahrung, können wir sehen, wie es in der EU und in der Schweiz ausserhalb aussieht. Das Urteil spricht eindeutig für eine Schweiz ausserhalb EWR/EU. Das ist heute allen klar. Ein EU-Beitritt steht ja gar nicht ernsthaft zur Diskussion. Warum verkündet denn Avenir Suisse nun auf einmal einen EWR-Beitritt? Der EWR ist ein Kolonialvertrag mit dem Ziel EU-Beitritt. Avenir Suisse wehrt sich nur gegen Denkverbote: Und es ist doch richtig, dass man alle Möglichkeiten prüft. Ich denke über die Beziehung Schweiz-EU seit dreissig Jahren – ohne Verbot. Und die Verfasser seit 20 Jahren über den EU-Beitritt – auch ohne Verbot. Aber kein EU-Gegner durfte sich im Avenir-Suisse-Buch über die Souveränität äussern. Wer verbietet hier wem das Denken? Es ist bei weitem nicht nur Ihre Partei, die heute gegen einen EU-Beitritt ist. Hoffentlich haben Sie Recht. So sollen diese andern hinstehen und verkünden: „Das strategische Ziel der Schweiz ist die Unabhängigkeit. Darum ist ein EWR/ und EU-Beitritt ausgeschlossen.“ Sie haben über eine Volksinitiative nachgedacht, welche der Schweiz einen EU- oder Nato-Beitritt verbieten soll. Wann kommt die? Wir denken weiter darüber nach. Zurück zu den Bundesratswahlen. Liebäugelt die SVP mit einem Departements-wechsel ihres Bundesrats Ueli Maurer? Das steht nicht im Vordergrund. 10 Jahre liessen die SP, CVP und FDP Samuel Schmid, der gegen den Willen der SVP gewählt worden war, im VBS gewähren, sodass jetzt ein riesiger Problemberg entstanden ist. Es wird Jahre dauern, diesen zu beseitigen. Es wäre verlockend, wenn einmal ein SP, CVP oder FDP-Vertreter die von ihnen veranstalteten Misstände in Ordnung bringen müssten. Die Chancen für einen zweiten SVP-Sitz stehen jedenfalls nicht gut. Die Mitte- und Linksparteien sind gefordert, die Konkordanz einzuhalten. Dann kehrt auch die Funktionsfähigkeit der Regierung wieder ein. Was es heisst, wenn die grösste politische Kraft im Bundesrat ausgeschlossen ist, haben wir in den vergange-nen 2 1/2 Jahren erlebt! Sie wollen mehr Opposition machen – und die SVP ganz aus dem Bundesrat abziehen? Ich bin nicht dafür. Aber solange die SVP nicht zwei Bundesräte hat, ist sie so oder so zur Opposition verpflichtet. Für die Bundesratswahlen haben bereits zwei Schwergewichte abgesagt: Fraktionschef Caspar Baader und Peter Spuhler. Ob Peter Spuhler angefragt wurde, weiss ich nicht. Aber Caspar Baader haben wir angefragt, obwohl wir wussten, dass er nie Bundesrat werden will, aber das Amt angenommen hätte, wenn es sein Unternehmen erlaubt hätte. Das ist nun leider nicht der Fall. Also werden es andere, gute Leute sein. Wer? Das verraten wir Ihnen, wenn die Vorschlagsfristen abgelaufen sind. Wird die SVP mit einem Einerticket antreten? Die Fraktion hat noch nicht entschieden. Mit zwei Kandidaten als Auswahl würden die Stimmen aber zu stark zersplittert. Treten Sie selber an? Nein, auch wenn ich bei einer Wahl das Amt annehmen müsste. Aber das Parlament hat zweimal gegen mich entschieden. Also muss man dafür sorgen, dass die anderen Parteien das Gesicht wahren können. SP, CVP und FDP mussten schon genug büssen! Seit der Abwahl hat die SVP bei den kantonalen Wahlen massiv Wähler hinzugewonnen. Gerade auch in der Innerschweiz: Schauen Sie z.B.  Nidwalden an: Die SVP hat seither zwei Regierungsratssitze geholt und ist neu die stärkste Fraktion in einem traditionellen CVP-Kanton. Man könnte auch sagen, in Nidwalden habe die SVP einfach nachgeholt, was schweizweit schon früher passiert ist. Also sagen wir es so: Ziel der Abwahl war, die SVP zu schwächen. Aber die Abwahl hat zumindest den weiteren Aufstieg der SVP nicht verhindert. CVP-Ständerat Konrad Graber schlägt vor, dass die Mitteparteien vier Sitze erhalten, die SVP und die SP die anderen drei teilen. Das soll lösungsorientiertere Politik erlauben. Was halten Sie davon? SVP, SP und Grüne haben zusammen gegen 60% Wähleranteil. CVP und FDP hätten 4 von 7 Sitzen. Konkordanz a la CVP. Und: Was heisst lösungsorientiert? Die SVP setzt sich gegen den EWR/EU-Beitritt ein und will endlich das Ausländer und Asylproblem lösen. Die SVP hat wirksame Lösungen. Aber es sind FDP und CVP, welche zum Beispiel bei der Ausschaffungsinitiative Hand bieten für eine Lösung, die auch für jene 70 Prozent der Stimmbürger akzeptabel sein kann, die nicht die SVP wählen. Kriminelle Ausländer sind endlich auszuschaffen. Das geht nur mit der Ausschaffungsinitiative. Der Gegenvorschlag sorgt dafür, dass sie nicht ausgeschafft werden müssen. Es ist ein Verwässerungsvorschlag. Nehmen wir ein Beispiel: Eine ausländische Familie lebt seit 15 Jahren hier, und der Vater begeht ein Verbrechen. Würden Sie den Vater ausschaffen und die Familie auseinander reissen? Wenn er ein Schwerverbrecher ist, Ja! Wenn man es so wichtig findet, dass die Familie beisammen sein muss, muss sie halt mit dem Verurteilten Schwerverbrecher ausreisen. Natürlich findet man immer einen Grund, warum ein Verbrecher nicht ausgeschafft werden soll. Wir haben endlich mit der Verbrechensbekämpfung ernst zu machen – gerade mit der sehr hohen Ausländerkriminalität. Die drohende Ausschaffung schreckt ab. Laut NZZ wird eine Volksinitiative zur Wiedereinführung der Todesstrafe bei Mord mit sexuellem Missbrauch lanciert. Ist das für Sie ein Thema? Ich war gegen die Abschaffung der Todesstrafe bei Landesverrat im Kriegsfall. Die Todesstrafe für übrige Delikte ist m.E. Untauglich. Es gibt hier auch viele Fehlurteile. Die Abschreckung der Todesstrafe ist fraglich. M.E. wirkt eine lebenslange Verwahrung besser. Wie schätzen Sie aber die Chancen einer solchen Initiative an der Urne ein? Im Vornherein klar ist der Ausgang einer Urnenabstimmung jedenfalls nicht. Ich bin auch keinesfalls für eine Ungültigerklärung. Ich werde niemanden verachten, der sich bei solchen Delikten für die Todesstrafe einsetzt. Aber ich werde sie nicht unter-stützen. Themawechsel: Bundespräsidentin Doris Leuthard will ein Freihandels-abkommen mit China. Ist das der richtige Weg, um sich unabhängiger vom wichtigsten Handelspartner EU zu machen? Ein Freihandelsabkommen mit China macht Sinn. China ist ein interessantes, eindrückliches und leistungsfähiges Land. Ich selber habe von 1983 bis 2003 in China 117 Fabriken gebaut. Mit China ist ein Problem Landwirtschaft auszu-schliessen, denn China hat auch eine Landwirtschaft, mit kleineren Betrieben und muss seine 1,3 Milliarden Menschen ernähren! Doris Leuthard hat Recht, wenn sie da vorwärts macht. Die Schweiz hat allerdings viel kaputt gemacht, indem sie die zwei Uiguren aufgenommen hat, welche China als Terroristen betrachtet. Und in Schanghai hat die staatliche Organisation Präsenz Schweiz unter Johannes Matyassy einen peinlichen Auftritt: Im Schweizer Pavillon stieg die attraktive Seilbahn ständig aus. Das ist keine Referenz für die Schweiz als Qualitätsstandort. Präsenz Schweiz müsste man sowieso schon lange abschaffen. Sie ist nutzlos, und im Fall Weltausstellung sogar schädlich für die Schweiz. Sie werfen Micheline Calmy-Rey aber gleichzeitig vor, sie pflege die Aussenbeziehungen zu den wichtigsten Partnern zu wenig. Was gilt jetzt? Wir brauchen zu den wichtigsten Partnern gute diplomatische Vertreter, die die schweizerischen Interessen vertreten. Nicht PR-Organisationen.